LE PROBLEME TURC : UN DOSSIER SUR LE NET

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LA TURQUIE NE CHOISIT PAS L' EUROPE

Accueillir la Turquie dans l'Europe est paradoxal pour 2 raisons: l'identité turque s'est cimentée dans le combat contre les populations européennes de religion chrétienne,et, l'identité européenne s'est formée dans la défense contre l'envahisseur, l'oppresseur ottoman.L'Histoire nous montre bien que les turcs ont été des envahisseurs. Après avoir détruit l'empire gréco-byzantin(1) qui régentait en quasi totalité des populations grecques établies en Asie mineure depuis l'antiquité il s'est mis à envahir les pays européens au nom de l'Islam. Turc et musulman voilà les 2 ciments unitaires, l'Islam étant le moteur politico-militaire de cette volonté d'expansion au profit du turc.



L'Union européenne nous révèle la vraie nature du projet auquel nous sommes invités à gaiement sacrifier la souveraineté de la France.
Loin de tendre à rassembler des peuples unis par une civilisation commune pour constituer une puissance capable de peser, par l'union de ses forces, face au colosse américain, elle s'affirme comme une structure technocratique et jacobine qui a vocation à réunir dans le culte du libre-échange ( entendez libre-échange un peu dans le style libertin, immoral même amoral) tous les pays de son aire géographique, sans tenir compte de l'héritage de l'histoire, des oppositions religieuses, des différentes racines ou des disparités de culture. Comment une telle construction pourrait-elle jamais se faire l'instrument d'une volonté politique? Réduite à l'impuissance par la disparité des intérêts et le nombre même des Etats qui la constitue, elle ne sera qu'un de ces ensembles dont les Etats Unis favorisent la mise en plaçe pour réduire le nombre de leurs interlocuteurs et faciliter leur hégémonie sur la finance et le commerce international( dernière opération des trusts yankees c'est la pénétration de la banane sud américaine au détriment de la banane des Antilles françaises (après l'ananas) L'Europe n'est plus qu'un vassal prié de fournir des forces suppétives aux opérations de police internationale, en fait de domination économique de la" superpuissance".
Or le destin des nations ne se confond pas avec l'accumulation des richesses matérielles. Il est fait de souvenirs, de passions, de cultures, de croyances, d'arts,de projets differents et de foi.
La vision du Turc, en l'occurence l'AKP n'est pas celle de la nomenklatura de l'Europe de l'Ouest. L'histoire c'est d'abord un territoire, c'est la géographie, et les politiques comme Erdogan veulent faire l'Histoire, tout le contraire de notre nomenklatura de l'ouest, notre classe oisive (2) mue par son intérêt personnel qui comme ses ancêtres paysans a pour unique valeur l'argent et qui croit que la politique, la géographie et l'histoire n'ont plus cours et sont politiquement incorrectes aux yeux des totalitaires turcs.
Ceux qui en Europe y sont encore attachés sont des extrêmistes avec des valeurs surranées (honneteté, courage, sacrifice.....tout ce qui représente la probité et la recherche de l'intérêt général).
C'est au nom de l'affairisme, de la finance et du commerce que" l'Europe oisive et financière doit coopter le Turc.Pour ce dernier,l'adhésion sert la nation turque et son prestige.
Pour lui l'Europe est déboussollée et incapable de lui résister.Elle fait d'ailleurs penser à Byzance avant son écroulement. Il veut renforcer l'Islam, levier de sa conquête. N'a-til pas en novembre 2009 été à Téhéran déclarer que l'Iran avait droit au nucléaire ce que conteste pourtant notre nomenklatura européenne et n'a t-il pas ouvert quelques jours plus tard avec Ahmadinejad, l'infréquentable, la réunion de l'organisation de la conférence islamique. La Turquie ne sera plus l'alliée d'Isrël mais va en devenir un ennemi.
D'ailleurs son entourage ne cache nullement qu'il continue la politique de conquête de l'empire ottoman en s'alliant aux musulmans du Proche-Orient et aux turcophones de l'ex URSS.
Abdullah( sic) Gül a rassuré les dirigeants actuels de l'Europe et de la France en leur disant que la politique néo-ottomane est complémentaire de l'imperium euro-correct. Notre nomenklatura, notre pseudo-élite sent bien le venin sous le fiel mais espère se tromper car elle est incapable de réagir. Cela la dépasse, elle ne peut croire que la géographie et l'histoire existent au XXIème siècle et font et feront toujours partie du réel qu'elle a quitté pour un monde virtuel, un monde anonyme et de nulle part.
D'ailleurs dans le but de tromper les peuples européens, les politicards ont fait d'Istambul avec Pecs en Hongrie et Essen en Allemagne une des capitales européennes de la culture en 2010. Mais Istambul que je connais bien pour y avoir séjourné n'est pas la Turquie,c'était l'ancienne Constantinople avec sa population mélangée plus européenne (grecque surtout )que turque, cultivée, humaniste tout le contraire du reste de la Turquie arriéré, encore au moyen âge d'où les grecs et les arméniens d'ailleurs ont été massacrés ou se sont enfuis. Mais aujourd'hui près des 2/3 de la population stambouliote ne sont pas nés à Istamboul, ville qui a été turquifiée ce qui explique qu'Erdogan(Recep Tayyip), ce sinistre individu ait pu être élu maire par cette population arriérée sauvage et encore fortement islamisée à qui il faudrait un autre Kémal ou d'une intervention militaire efficace pour évoluer.
La Turquie est un pays où la corruption est devenue une pratique habituelle et courante comme dans pas mal d'autres pays musulmans, c'est un pays où la Justice et les juges sont de plus en plus politisés et donc dépendants du pouvoir politique ce qui explique la chasse aux sorcières contre les entrepreneurs kémalistes et laïcs. C'est un pays où hormis pour l'Islam, la liberté religieuse n'est pas garantie ni tolérée où les agressions et les meurtres contre le clergé non musulman se sont développés dans la plupart des provinces. Peut-on accepter l'assassinat du père Andréa Santoro à Trabzon ( 5 février 2006) ceux de 3 missionnaires protestants égorgés à Malatya en avril 2007, celui de Mgr Luigi Padovese le 3 juin 2010 à Alexandrette ( Iskenderun nom turc).
Peut-on accepter cela en Europe ?
Peut-on accepter que les turcs non musulmans soient considérés comme le parti de l'étranger, de l'Occident, de l'Europe ? N'est-ce pas paradoxal de vouloir intégrer l'Europe dans ces conditions ?
Peut-on accepter un pays qui fait figurer sur les cartes d'identité la religion de ses citoyens, qui bloque l'ouverture d'un séminaire grec ?
Peut-on accepter que les chrétiens (100000)subissent vexations, brimades et restrictions à la liberté religieuse imposées par le gouvernement turc
Peut-on accepter un pays qui après avoir massacré, spolié,fait fuir les chrétiens syriaques refuse à ceux qui ont survécu et sont restés une école de formation ?
Peut-on accepter un pays qui atteinte à la liberté d'expression même sur les sites internet, youtube.
Peut-on accepter un pays ou les violences domestiques contre les femmes sont courantes et tolérées comme sont tolérés les crimes contre celles-ci appelés crimes "d'honneur"( en fait d'horreur, espèce de débile!!).
Peut-on accepter qu'Erdogan soit si souvent irrespectueux envers les femmes, leur montrant ainsi son mépris que confirme son incitation à ce qu'elles se voilent.
Peut-on accepter un pays où les mariages forcés et précoces existent encore au
XXI ème siècle ?
Peut-on accepter qu'Erdogan ait demandé aux turcs vivant en Europe de ne pas s'intégrer, de continuer à vivre en communauté islamique ?
c'est çe genre de communauté qui veut entrer dans l'Europe en formant une communauté allogène ?
Peut-on accepter des individus qui représentent le premier groupe de trafiquants de drogue en Allemagne ? Non, non et non
Peut-on accepter un pays qui est le premier fournisseur d'héroïne en Europe(3)qui l'expédie par bateau vers la Roumanie et de là par camion vers l'Europe, par bateau vers l'Italie ou l'Espagne ou à travers la Bulgarie vers l'Albanie via le Kosovo.
Peut-on accepter un pays compromis dans le trafic d'êtres humains et d'armes à destination de l'Europe ? Non et non.
Peut-on tolérer que la Turquie soit devenue le tremplin de l'immigration clandestine musulmane à destination de l'Europe, la seule porte qui reste largement ouverte? Certainement pas.

Peut-on accepter ce pays avec de tels dirigeants ?

C'est laisser entrer le loup musulman perclus de toutes ces tares dans la bergerie. N'en déplaise au dénommé J michel Belorgey, membre du Conseil d'Etat et certainement de la nomenklatura française, le refus d'accepter ce pays rétrograde dont la"culture" est totalement opposée à la notre n'a rien de maladif. Le malade c'est celui qui accepte de l'incorporer dans l'Europe, ne croyez vous pas ?
Pour avoir vécu en terre d'Islam, je peux porter témoignage que c'est difficile et pour la plupart des européens impossible. Les massacres de chrétiens en Irak, en Egypte, au Soudan, les affrontements dans les pays africains entre musulmans et chrétiens quand cohabitent ces 2 religions est la réalité indéniable (que l'on ne peut nier).
Il faut être ignare ou fou pour affirmer le contraire.
Alors pourquoi tenter le diable ?
Erdogan n'a t-il pas affirmé que les mosquées sont les casernes, les minarets les baïonettes, les coupoles les casques et les musulmans les soldats ?(4)
Et c'est cet extrêmiste fanatique et son pays qu'il pervertit que l'on veut laisser entrer en Europe.
Oh je sais, nous n'avons rien à leur envier, sommes nous seulement en démocratie dans cette République française, est ce qu'en 62 le pouvoir politique n'a t-il pas persécuté les populations françaises musulmanes et européennes d'Algérie qui refusaient la remise de ce pays à un clan d'ambitieux et de corrompus, ne s'est-il pas rendu coupable de tortures, de meurtres, d'actes terroristes avec ses forces de gendarmerie mobile et de bidasses du contingent envers des personnes dont le seul crime était d'avoir voulu rester français, n'a t-il pas remis des citoyens français de confession musulmane, les harkis, aux couteaux de tueurs ? Mais auourd'hui la Turquie c'est du pareil au même. Vous croyez qu'il n'y en a pas assez de ces pseudos démocraties ?
Alors pourquoi tenter le diable ?

Le referendum du 12 septembre 2010 vient bien confirmer ce que je viens de dire. La Turquie s'oriente vers un régime islamiste totalitaire qui veut saper les principes républicains et laïcs en mettant un terme aux cours donnés par les militaires dans les lycées, en s'emparant de la Justice que l'AKP veut totalement controler notamment la Cour constitutionnelle et le Conseil supérieur des juges et des procureurs, protecteurs de la République laïque fondée en 1922 par mustapha Kémal.
Elle ne résoudra pas les éventuels dysfonctionnements du système judiciaire, mais va seulement changer la couleur de ceux qui le contrôle. Il y a un risque de dérive autoritaire" affirme Gareth Jenkins, politologue britannique installé à Istambul.
L'électorat de l'AKP est celui des régions arriérées d'Anatolie, ou se cotoient incultes, ignares et sauvages.
Les dirigeants turcs protègent le soudanais islamiste Omar el Béchir poursuivi par la "Cour pénale internationale" ( un gadget à sens unique) et responsable de massacres effroyables tant au sud Soudan qu'au Darfour.

La Commission de Bruxelles a salué ce"pas dans la bonne direction".Il faut dire que cette Commission est composée de gens très peu compétents et sans culture politique et historique( cf Viviane Redding)(5).La victoire de l'AKP, entachée d'ailleurs de quelques fraudes et pression en Anatolie va permettre à ce parti islamiste de supprimer la loi fondamentale ( la constitution) laïque et moderne de 1982, de tuer une seconde fois le père de la nation turque (Ataturk) et de détruire les bastions laïcs pour la remplacer par une sorte de pre-charia.

Les islamistes turcs n'hésitent déjà plus à se découvrir avec les Chypriotes turcs qu'ils oppriment en exercant une dictature qui s'exprime par décrets sur un gouvernement chypriote turc qualifié d'épouvantail. Le mercredi 2 mars 2011 des dizaines de milliers de Chypriotes ont manifesté leur colère contre cette dictature,les spoliations de terres et d'usines, exprimant un réel malaise identitaire suite à l'invasion des paysans arriérés d'Anatolie qui serviront de milice armée à Erdogan pour imposer un Etat islamiste rétrograde. Ce que craignent par dessus tout les Chypriotes qui refusent de retourner à des moeurs et des coutumes de sauvages avec la charia qu'ils haïssent.

Il est vital pour les Français de se retirer d'urgence de l'Union européenne sur tous les plans.
Le vendredi 4 mars plus de 2000 journalistes turcs ont défilé dans les rues d'Istamboul avec un bâillon sur la bouche pour protester contre l'arrestation arbitraire par les islamistes de 3 journalistes. Les islamistes d'Erdogan commencent à montrer leur vrai visage. Ce sinistre individu n'a pas voulu commenter ces persécutions contre les journalistes dont 61 sont actuellement incarcérés et 4000 poursuivis par la justice à la solde des islamistes. Même le Président de la République qui appartient pourtant au parti islamiste d'Erdogan est sorti de sa réserve se déclarant " inquiet" de ces arrestations.La Croix du mercredi 9 mars 2011



(1)affaibli et ruiné par sa croisade contre les Perses sassanides (Iran)
(2) la classe oisive mise en évidence par l'économiste Thorstein Veblen qui correspond aux politiciens, aux hauts fonctionnaires ( hors échelle) incluant les "grands patrons", aux politiciens et fonctionnaires européens, aux financiers, aux intermédiaires obligés en un mot à tous ces actifs improductifs qui vivent de transferts de revenus sur les productifs et pénalisent l'économie européenne.

(3) parce que les pays producteurs, Afghanistan, Pakistan, Iran ne savent pas faire un produit fini. A la sortie de l'Iran, on trouve de l'opium et de la morphine base tandis qu'à la sortie de la Turquie c'est de l'héroïne. Les partis politiques, de larges secteurs des services secrets, le PKK kurde, les mafias se partagent les trafics. On parle des droits de la minorité kurde mais on dissimule cette criminalité
installée au plus haut niveau de l'Etat.
(4) Les Suisses l'ont privé de ses baÏonnettes
(5)Le 11 septembre le ministre turc des Affaires étrangères en bon mafioso s'est livré à un vrai chantage, éxigeant de Bruxelles l'accelération du processus d'adhésion avant d'avoir résolu les contentieux comme l'occupation militaire du nord de Chypre.


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